J´arrive devant un bâtiment relativement modeste en comparaison des autres réalisations architecturales de la ville. Le toit imite la traditionnelle tente des bédouins.
J´ai le privilège de visiter le centre en tête à tête avec le gardien du musée. Comme il ne parle pas anglais, ses commentaires sont relativement succincts. Néanmoins, les panneaux explicatifs bilingues me permettent d´en savoir un peu plus sur les qualités de prédateurs et les habitudes de ces oiseaux migrateurs.
La salle de conférences intégré au Centre. |
Mon regard est attiré par l´un d´entre eux qui se démarque par sa vigueur, alors que ses compagnons ont l´air assoupis. Le vendeur me confie qu´il s´agit d´un oiseau capturé à l´état sauvage, contrairement aux autres, élevés en captivité. Il démontre une belle énergie lorsqu´il s´agit de déchiqueter les morceaux de pigeons frais que ses curateurs lui donnent car c´est l´heure du repas.
On trouve de tout dans les boutiques dédiés à la fauconnerie qui environnent le musée : des bourquas pour recouvrir la tête des oiseaux, des perchoirs, et même des drones spécialement conçus pour dresser les rapaces.
Ci-dessous un Emirien accompagnant son oiseau au centre de soins vétérinaires intégré au centre :
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