4 janvier 2013 : Lavagne-Monterosso al Mare (60 k)
Dernière étape de mon périple. RAS entre Lavagna et Sestri Levante, où est implanté un chantier naval imposant dans cette ville de taille modeste.
Puis entre Sestri et Deiva Marina, via Moneglia, je prends une route qui, à l’origine, n’est pas faite pour les vélos. Cela n’est pas évident de prime abord, elle paraît normale. A un détail près : elle est parsemée d’une dizaine de tunnels à sens unique alterné, dont le plus long mesure2,5 km , si étroits que l’on a du mal à y passer à deux de front (les voitures rasent de très près les cyclistes lorsqu’elles les dépassent). Cela n’empêche pas un camion-toupie de finalement me dépasser après plusieurs tentatives avortées. Je me rends compte, au milieu du parcours, que les tunnels sont interdits aux vélos, et que c’est même un peu dangereux. Trop tard, je suis obligé de continuer ou de faire demi-tour, alors, autant continuer… même au prix de quelques coups de klaxons. La traversée de cet itinéraire routier et de ses tunnels en plus ou moins bon état, plus ou moins bien éclairés, est épique.
Puis entre Sestri et Deiva Marina, via Moneglia, je prends une route qui, à l’origine, n’est pas faite pour les vélos. Cela n’est pas évident de prime abord, elle paraît normale. A un détail près : elle est parsemée d’une dizaine de tunnels à sens unique alterné, dont le plus long mesure
A partir de Deiva Marina, je commence l’ascension qui va me conduite à Levanto.
Après une montée rude et relativement longue, je suis une route de crête qui laisse entrevoir de superbes points de vue sur la côte en contrebas. Au sortir de Levanto, j’ai encore le temps de pénétrer dans le parc des Cinque Terre et me dirige vers Monterosso Al Mare, ce qui me donne l’occasion d’achever mon circuit par une route superbe, la côte est raide, mais la descente vers le rivage donne l’occasion de faire quelques pointes de vitesse et de s’amuser un peu. Je me restaure à Monterosso, empli de touristes venus de toute l’Europe, puis reprends le train, en direction de Gênes.
Le lendemain, après une étape par Nice, je passe l’après-midi avec Roger et Sang et reprends le train de nuit en direction de Paris.
Le récit donne bien envie d'aller visiter ces coins-là. Ce qui serait top, d'ailleurs, ce serait d'avoir une carte avec le trajet représenté dessus ; je me demande si ce n'est pas possible avec google maps...
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