Train Gare du Nord – Beauvais.
Visite rapide de Beauvais et de sa cathédrale Saint-Pierre (10e - 16e siècles), dont la nef haute et ramassée semble soutenue par les piliers infinis qui projettent la voûte jusqu’aux cieux. Les points saillants de la visite sont constitués par les peintures murales et la grande horloge (13e - 15e siècles).
 |
| Saint-Pierre culmine à 67 mètres de haut |
Le plus haut choeur gothique du monde
"Rosace de la création", vitrail de Nicolas Leprince, 1551
Plus ancienne horloge à carillon du monde (1303)
Fresque de la chapelle des fonts baptismaux (13e-15e siècles)
Je prends un café sur la place Georges
Clémenceau. La température est plus fraîche que prévu mais, avec de la chance, elle finira par s’élever dans l’après-midi.
Je prends la direction de Fouquenies et
Savignies jusque Gerberoy, labellisé « un des plus beaux villages de
France ». Pique-nique devant la plus importante
propriété du village, située en son pinacle.
Je rejoins le lit du Thérain et suis son
cours jusque Héricourt, en passant par Fontenay-Torcy, dont je visite l’église
du 11e siècle.
Au niveau de Héricourt, un troupeau de vaches, dont
l’un des membres s’exprime bruyamment, m’observe.
Puis je quitte le Thérain ainsi que le département de l'Oise,
empruntant un parcours vallonné de toute beauté (Doudeauville en Seine-Maritime,
Haussez, Pommereau). C’est une suite d’ascensions et de descentes qui me
permettent d’admirer le Pays de Bray dans toute sa luxuriance (verts pâturages
sur lesquels broutent des vaches, des chevaux, des moutons et des ânes,
entrecoupés collines couronnées de bois). Je suis en pays de bocage, et
les haies coupe-vent annoncent déjà l'Angleterre.
Arrivée à Forges-les-Eaux par la gare et le
centre-ville, qui présente l'aspect d'un coron. Je bois un monaco sur
la place de la mairie en admirant son fronton.
Puis je pars à
la recherche des bains et du casino, situés plus près des sources.
La porte de Gisors, provenant de l'ancien couvent des Carmélites de Gisors détruit pendant la Deuxième guerre mondiale. Seule en restait la porte qui fut achetée par J. Hébertot, propriétaire du casino. Reconstruite entre 1952 et 1955.
Etangs de l'Ardelle
Je bénéficie du bon accueil de mes hôtes - le repas est copieux et de bonne qualité, mention spéciale aux fromages servis, notamment une tomme au foin et une autre au cidre. L’hôtesse est charmante et sa conversation,
intéressante. La chambre est de belle taille, tout comme la salle-de-bains.
Nuit passée aux « Chambres du Lac », c/o Annie
DELBOULLE, 34 bis rue d'Enghien, 76440 Forges-les-Eaux
Click here to Day 2
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire