Jeudi après-midi, je me dirige vers l´aéroport de Riyad "King Khaled" pour prendre l´avion en direction de Dubai que je pourrai visiter pendant le week-end, avant de rendre visite à nos collègues du bureau de Dubai dimanche dans la journée et de rentrer le soir.
Mes collègues de Riyad, en particulier Amar et Asif, tous deux fans de Dubai, prédisent que je me prépare à vivre une expérience hors du commun dans cette cité réputée pour ses excès, son aspect clinquant et son atmosphère "folle". C´est empli de curiosité que je m´embarque dans cette aventure.
C´est avec Flynas, la compagnie lowcost du royaume, que je voyagerai.
Un 747 de la Saudia desservant l´Inde, à trois heures de vol de Riyad
Les 777 sont utilisés sur les lignes européennes et nord-américaines.
L´aéroport de Riyad, carapaçonné à la façon d´une tortue, a bien besoin d´être rénové, d´autant que la concurrence régionale est rude en matière d´infrastructures aéroportuaires (Dubai bien sûr, mais aussi Abu Dhabi, Doha et Bahrain)
Pendant que j'attends mon avion retentit un appel à la prière diffusé par les haut-parleurs de l'aéroport dont le volume semble réglé à fond. J'ai la surprise de constater qu'une femme voilée à la mode saoudienne, c'est-à-dire qu'on ne lui voit que les yeux, s´est bouché les oreilles des deux mains, conservant cette attitude exaspérée jusqu'à la fin de l'enregistrement (qui dure tout de même une quinzaine de minutes).
Après une heure et demi de vol, je prends le métro et rejoins le district financier dans lequel mon hôtel est situé. Je le trouve sans difficulté, pratiquement à la sortie de la station "Financial Center".
Vue à partir de ma chambre d´hôtel, au 37e étage de la tour Rayhaan.
Le bâtiment du Burj Khalifa brille de tous ses feux, notamment au moment du changement d´heures.
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