mardi 19 août 2014

Malmö - Helsingor, via Helsingborg : en remontant le détroit du Sund (80k)

Sortie sans encombre du centre de Malmö. Après avoir contourné la zone industrialo-portuaire, je prends la route qui suit la côte et peut observer la Turning Torso Tower au loing, bien après les prairies roussies par l'air marin, au-delà de la baie. Plus loin encore, se dessine la silhouette du pont autoroutier reliant Malmö et Copenhague.

En traversant Lomma, je rencontre un frutivendolo suédois auquel j'achète des poires issues de la production locale, succulentes !













Landskrona est une localité industrielle, mais dans ce pays nordique très soucieux d'écologie et de respect de l'environnement, les cheminées des usines font des nœuds :



La Suède est le pays rêvé des golfeurs : avec un taux hydrométrique record, un bon ensoleillement entre les averses, le gazon pousse de façon luxuriante et drue. Seule petit problème peut-être, le vent oblige l'amateur à corriger la trajectoire de sa balle...

Le cour littoral de Barsebäck, au sortir de Landskrona







Au sommet d'une côte, juste avant Glumslöv, je suis amené à m'arrêter pour observer la vallée de la Raa.



Puis c'est l'approche d'Helsingborg, via Rydebäck et ses maisons bien alignées. J'y rencontre une riveraine soucieuse de me voir prendre des photos de sa maison, elle me questionne, comprend la visée touristique de mon voyage, et me souhaite tout de bon, en me conseillant de suivre le littoral pour avoir le meilleur point de vue.





Le manoir de Rydebäck, flanqué de deux écuries






Puis c'est le chemin côtier entre Rydebäck et Helsingborg, j'y croise des promeneures et leurs chiens.





Ci-après l'entrée du château d'Helsingborg, dont on aperçoit le donjon derrière les tours de l'avant-plan visiblement de facture plus récente.




Puis je m'approche de la mairie de Helsingborg, entre château fort et beffroi. Après cela, j'aurais un peu de mal à rejoindre la gare du ferry qui mène à Helsingor après avoir traversé le détroit. Les accès sont en travaux et le chemin pour les cycles n'est pas évident à trouver. Néanmoins, après m'être fait copieusement klaxonné par des automobilistes furieux que j'empiète sur la partie de la chaussée qui leur est exclusivement réservée, je parviens, grâce à l'aide d'un collègue cycliste d'origine turque, à retrouver mon chemin et à embarquer sans encombre. La traversée est rapide, ne dure que 20 minutes. Je débarque au Danemark...












 



Le château d'Helsingor

L'appartement que je loue pour cette nuit...

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